Les impôts constituent une part importante des charges financières de chaque ménage. Dans la perspective de réduire cette charge, il est possible d’investir dans une résidence senior. Un tel investissement permet en effet de jouir de trois privilèges majeurs. Le premier est représenté par le retour sur investissement qui permet de se constituer un certain patrimoine. En faisant appel à la loi Censi-Bouvard, il est aussi possible de prétendre à une remise d’impôt concédé aux investisseurs pour la mise en location d’au moins 9 ans. A la sortie, les gains locatifs peuvent également constituer des revenus complémentaires de retraite. Il et possible d’en avoir un aperçu en accédant au site euodia.fr.
Les principaux privilèges offerts par l’investissement dans une résidence senior
La résidence senior est une location meublée proposant tous les services nécessaires pour une vie agréable, confortable et sécurisée pour les personnes âgées. Le facteur social est également pris en compte ; de nombreuses activités sociales sont proposées. Ainsi, en acquérant une résidence senior, un investisseur devient un loueur meublé du point de vue fiscal. L’exploitation est donc mise sous la responsabilité d’un gestionnaire qui devra en contrepartie, lui verser périodiquement des loyers pour uen rentabilité d’environ 4 % chaque année. Ainsi, un investisseur qui a acquis un tel établissement en exploitant un crédit immobilier au taux d’intérêt inférieur à 4 %, pourra rembourser ses intérêts avec les gains qu’il perçoit.
Quant à la loi Censi-Bouvard sur les résidences seniors, elle offre aux investisseurs une défiscalisation allant de 20 à 33 % de leur revenu imposable. Et ce, sur les 9 ans, la durée minimale de l’exploitation du bien immobilier acquis. A la sortie de cette période d’exploitation, l’investisseur peut utiliser cette résidence comme habitation principale et se constituer des revenus complémentaires avec les gains locatif perçus. Toutefois, il faut que le bien immobilier acquis soit neuf ou en cours de rénovation. Pour prétendre à un remboursement de la taxe sur la valeur ajoutée, l’investisseur doit exploiter l’immeuble qu’il a acquis durant au moins 20 ans. Une revente avant cette vingtième année, devra rembourser au trésor public, les années de non-détention.